revue littéraire : les homonymes du L
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autrefois, elle se convenait mais elle se souciait peu de se connaître,
désormais elle prétendit se dédoubler, elle se regarda,
elle s’épia |
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oh que cela cesse enfin, pourquoi ne m’a-t-on pas appris qu’il ne fallait
pas, qu’il ne fallait à aucun prix battre de trois ailes à
la fois ? |
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la langue anglaise a pris soin d’ajouter un “n” à l’article
“a” lorsque celui-ci est placé devant un substantif commençant
par une voyelle: “just an ale, please” |
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précédé d’un X, L signifie donc : soit 40, soit
extra-large, soit sa Majesté-Louis-moins-dix, soit le radical bivalent
du tritoxyde de litote, gaz dit hilarant
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il cherche à ; se souvenir de son nom en faisant le tri parmi
tous ses sens possibles, et ses avatars historiques ; ne trouve rien ;
constate sinon qu’il s’engloutit, à l’instant même : il hèle
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